Aimer & être aimé

Sur un ring

J’avoue avoir été touché par ce que j’ai vécu cette semaine. Je m’attendais à une retraite centrée sur des questions particulièrement personnelles. Mais j’ai découvert ici une préparation pour faire des choix, pour être dans les meilleures conditions pour poser mes choix personnels. Nous apprenons à mieux nous connaitre afin de parvenir à choisir librement. J’ai été touché par la solitude, une bonne solitude. Ici nous n’avons même plus de téléphone. Et je me suis retrouvé, seul, face à mon Dieu. J’ai découvert une solitude profonde et belle. J’ai découvert le silence qui rend chaque bruit mélodieux. J’ai vécu ici une très belle expérience. Je n’avais prié aussi intensément de toute ma vie. J’ai maintenant des armes pour affronter le quotidien et ses combats. J’ai aimé la comparaison du ring. La prière est l’arme la plus importante du combat spirituel. Louis, étudiant

Pieds de plomb

 Je suis venu sans question, juste pour me remettre au Christ avant cette nouvelle année.  Ce fut, encore, une semaine magnifique. Et pourtant je suis venu avec des pieds de plomb et un coup de karcher. Mais ici j’apprends à lire la Bible, il y a tellement à apprendre et à prendre dedans. Nous sommes transportés. Il est bon de prendre des objectifs de lectures quotidiennes de la sainte Écriture. J’ai vécu de grands moments de consolation et de désolation. J’essaye d’offrir tout cela au Seigneur et Lui demande de gérer. Ce qu’Il fait très bien. Boris, conducteur de travaux, 3^è retraite 

Aimer et être aimé

Cette semaine s’est écoulée en un rien de temps. Je crois qu’il était pour moi nécessaire de faire le point. J’ai reçu dans cette retraite, entre larmes et sourires qui l’ont constituée, une immense réponse à une souffrance personnelle. Je suis comblé d’une paix intérieure. J’étais dans le désespoir et j’ai entendu une phrase, du Père Cueto : « j’ai été créé par Dieu, pour être aimé et pour aimer ». Ce fut pour moi une délivrance. Juste une phrase pleine de sens et d’un amour infini, a suffi à me soigner. Tu m’as comblé Seigneur. Victor, architecte